HUMOUR : histoires drôles - 2

Un homme entre dans un bar avec une autruche derrière lui. Une fois installés, le patron arrive pour la commande...
L'homme dit :
- Je prendrai une bière.

Il se tourne vers l'autruche et lui demande :
- Et pour toi ?

- Une bière pour moi aussi, répond l'autruche !

Le patron amène les deux bières et dit :
- Ça fera 7.40 $, s'il vous plait !

Le type plonge la main dans sa poche et en sort la somme exacte.
Le jour suivant, l'homme et l'autruche reviennent. L'homme redemande une bière et l'autruche la même chose. A nouveau, l'homme met la main dans sa poche et en sort le montant exact demandé. Et puis cela devient vite une routine, chaque soir les deux se pointent au bar.

- Comme d'habitude ? demande le patron.
- Non, pas ce soir. Pour changer, je vais prendre un double scotch !
- Pareil pour moi, dit l'autruche !
- Voilà ! Ça fera 12.30 $.

Une fois de plus, l'homme plonge la main dans sa poche et en ressort la somme exacte qu'il dépose sur le comptoir.
Le patron ne peut retenir plus longtemps sa curiosité :
- Dites-moi, m’sieur, comment faites-vous pour arriver à trouver dans votre poche la somme pile à chaque fois ?
- Hé bien, dit l'homme, il y a quelques temps, j'étais en train de nettoyer mon grenier quand j'ai trouvé une vieille lampe. Lorsque je l'ai frottée, un génie est apparu et m'a offert deux souhaits...
Mon premier souhait a été de pouvoir toujours sortir de ma poche la somme exacte qu’on me demandait.

- Bien vu ! répond le patron. La plupart des gens auraient demandé un million de dollars ou quelque chose du même genre, mais en faisant ainsi vous serez aussi riche que vous le voulez et aussi longtemps que vous le voudrez.

- Exact ! Que ce soit pour un litre de lait ou une Rolls, j’ai toujours sur moi la somme exacte à payer.

Le patron demande alors :
- Encore une chose, m’sieur... et l'autruche ?

- C'est là que j'ai merdé ! Pour mon deuxième voeu, j'ai dit que je voulais une poulette bien en chair avec des grandes guiboles...

elle est bien bonne celle là !

- Monsieur le commissaire, annonce un mari éperdu, je viens vous déclarer la disparition de ma femme. Elle était sortie pour promener le chien et voilà une semaine qu'elle n'est pas rentrée à la maison.

- Pouvez-vous me donner son signalement ?

- Euh... Elle est rousse. Non, blonde...
Pas très grande... Pas vraiment petite, non plus...
Et elle a les yeux verts. Non, bleus... Non, verts, verts...
Enfin je crois.

- Bien, dit le commissaire en soupirant.
Et le chien, il était de quelle race ?

- Briard. Soixante-cinq centimètres au garrot, poil fauve clair, truffe noire, yeux marrons foncés, légère cicatrice sous le menton, numéro de tatouage GAH 492.

Deux prêtres décident d'aller en vacances à Hawaii. Ils sont déterminés à prendre de vraies vacances en ne portant rien qui pourrait les identifier comme étant membres du clergé. Aussitôt arrivés, ils achètent bermudas, shorts, chemises, sandales,lunettes de soleil, etc.
Et le matin suivant, ils sont à la plage, habillés comme des touristes. Assis sur leur chaise de plage, ils prennent un verre au soleil en appréciant leur situation de vacanciers, lorsqu'une belle grande blonde aux formes désirables, en bikini topless, passe devant eux et dit avec un grand sourire :
"Bonjour mon Père, bonjour mon Père" à chacun d'eux...

Ils sont éberlués. Comment sait-elle qu'ils sont prêtres ?

Le jour suivant, ils retournent au magasin pour s'acheter des costumes de plage encore plus modernes. Toujours assis sur leur chaise de plage, ils profitent du soleil lorsque la même grande blonde aux rondeurs plus que dénudées, monokini - string, leur adresse son plus beau sourire :
"Bonjour mon Père... Bonjour mon Père..." et continue son chemin.

Un des prêtres, n'en pouvant plus, l'interpelle :
"Une minute, jeune fille ! "

"Oui, mon Père ?" dit-elle.

" Nous sommes des prêtres et fiers de l'être, mais j'ai besoin de savoir comment vous pouvez vous en rendre compte, habillés comme nous le sommes ? "

" Mais enfin mon Père... C'est moi... Soeur Catherine ! ! ! "

extra !